vendredi 22 octobre 2010

Lucienne Jean : impressions, retour de vacances...

Ce soir conseil municipal : on votera enfin -je l'espère- l'abattement spécial à la base que nous réclamons depuis des années ! Il profitera à 231 familles les moins aisées (parmi celles qui paient la taxe d'habitation).
On va aussi sans doute adhérer à une structure créée par le Conseil général -de gauche- pour aider les communes dans la gestion de leurs projets ; notre conseiller général, maire de Gouvieux, dit toujours pis que pendre du Conseil général mais heureusement ses collègues UMP sont plus pragmatiques... Ca n'empêchera pas M. Marchand d'être réélu et sans doute au premier tour puisque la gauche en multipliant les candidatures lui tisse un beau tapis rouge.
Nous n'avons pas encore finalisé notre promesse de questionnaire en ligne sur le transport : il va arriver ! Mais vous pouvez aussi vous exprimer sans questions imposées (et peut-être inadéquates).
Enfin je viens de lire un message de SOS Education que je trouve intéressant : il s'agit d'un proviseur de lycée à Amiens qui a eu l'idée tranquille de mettre sur le site de l'établissement ce qui s'y est passé depuis une semaine ; il parait qu'on lui a demandé de retirer ces informations ; sans pour autant dire qu'elles sont fausses... On peut les retrouver sur le blog de SOS Education qui -les petits malins- en ont fait une copie...

A propos des abattements, la loi sur les collectivités territoriales est décidément bien mal fichue ! Après avoir demandé aux communes de revoir leur politiques d'abattements pour éviter des surcoûts non anticipés pour certains contribuables (ce que nous faisons ce soir) voila que le gouvernement propose un nouvel amendement pour annuler d'une autre façon le problème initial et un nouveau délai pour tout reconsiderer !!! Ecrire une loi est certainement très délicat mais si le parlement et les commissions travaillaient plus en profondeur avant de voter les lois imaginées par M. Sarkozy, elles n'en seraient pas socialement meilleures mais au moins elles ne donneraient pas dans le ridicule... Et les pauvres élus ne tourneraient pas en bourrique.

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